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Epson répond à « Envoyé Spécial » sur France 2 et rejette catégoriquement toute allégation d’obsolescence programmée

Déclaration en réponse au programme France 2 « Envoyé spécial : imprimantes, le coût de la panne » diffusé le jeudi 29 mars 2018

Après le récent programme France 2 diffusé le 29 mars dernier, Epson ressent la nécessité de corriger certains points du programme qui, selon le constructeur, sont extrêmement trompeurs et basés sur des faits erronés, biaisés ou partiels.

 

Epson rejette catégoriquement toute allégation d’obsolescence programmée. Une telle intention serait contraire à sa philosophie et aux principes de l’entreprise. Epson met tout en œuvre pour prolonger au maximum la durée de vie de ses imprimantes, pour maximiser l’investissement de ses clients et pour les satisfaire en leur garantissant un usage fiable et durable des produits Epson.

Une imprimante est un produit sophistiqué, la technologie des cartouches d’encre Epson, l’utilisation d’encre et les composants, tel que le tampon encreur, sont conçus pour garantir la fiabilité et la performance du système d’impression et permettre aux clients d’utiliser les imprimantes Epson en toute tranquillité.

Trois principales informations communiquées lors du programme d’hier soir étant erronées, Epson souhaite apporter des précisions aux consommateurs concernant chacun de ces points :

L’encre résiduelle dans les cartouches : elle est là pour protéger la tête d’impression dans l’imprimante

De même qu’il est exclu d’injecter de l’air lors d’une injection intra veineuse, il est essentiel d’empêcher que de l’air ne pénètre dans la tête d’impression en gardant un minimum d’encre à l’intérieur des cartouches. Si de l’air pénètre dans la tête d’impression, la qualité d’impression sera dégradée (par exemple des pages blanches seront « imprimées » ou les documents seront ternes). Dans certains cas, la tête d’impression peut être endommagée et nécessiter la réparation de l’imprimante (en raison de l’apparition de lignes blanches dans les documents imprimés, etc…)

Epson a développé un grand nombre de types de cartouches, et si la quantité d’encre résiduelle dépend du type de cartouche, la quantité d’encre restante ne change pas au sein d’un type de cartouche1, même si le rendement indiqué est différent. Cela est dû à de nombreux facteurs, notamment la structure de la cartouche d’encre, les tolérances de fabrication et la précision du logiciel sur les anciens modèles. Epson offre aux consommateurs le choix entre des rendements petits, grands et extra-larges en offrant des quantités variables d’encre d’impression dans la cartouche en fonction de leurs besoins d’impression.

Pour être clair, l’encre résiduelle est destinée à la protection du système. C’est de l’encre supplémentaire qui n’est pas incluse dans les calculs du rendement de la cartouche ou du coût à la page. Cette encre est spécifiquement destinée à toujours rester dans la cartouche. L’encre disponible pour l’impression fournit les rendements de page indiqués sur les emballages ou sur notre site web, conformément aux normes internationales ISO / IEC 24711 et ISO / IEC 24712. La quantité de ml indiquée sur l’emballage de la cartouche est l’encre totale contenue dans la cartouche comme requis par la loi, et comprend donc à la fois l’encre d’impression et l’encre résiduelle.

La puce sur la cartouche

Le but de la puce sur la cartouche est d’enregistrer et de stocker le niveau d’encre d’impression restante dans la cartouche. Cette information est transmise à la puce à partir d’un compteur dans l’imprimante, qui compte le nombre de gouttelettes d’encre éjectées de la tête d’impression, et NON le nombre de pages.

Le tampon d’encre résiduelle de l’imprimante

Il est conçu pour récupérer l’excès d’encre et éviter les fuites d’encre à l’intérieur ou à l’extérieur de l’imprimante. Si cela se produit, cela peut endommager l’imprimante et les zones environnantes. La saturation maximale du tampon d’absorption d’encre est définie en comptant les gouttelettes d’encre entrantes dans le tampon.

 

Pour les imprimantes d’entrée de gamme, le tampon encreur est un élément remplaçable par un technicien dans un centre de service. Le tampon encreur est conçu pour dépasser de manière significative l’utilisation normale de l’imprimante (en fonction de l’utilisation moyenne des utilisateurs). Par exemple, le tampon encreur de l’Expression Home XP-225 a une durée de vie de plus de 10 ans, en se basant sur le profil utilisateur moyen imprimant environ 40 pages par mois. D’autres modèles incluent des tampons encreurs facilement remplaçables par le client.

REMARQUE : pour éviter les fuites, le compteur du tampon d’encrage ne doit jamais être réinitialisé sans avoir remplacé le tampon usagé.

« Epson met toujours le client au premier plan », déclare Ernest Quingles, directeur général d’Epson France. « La meilleure façon – et la seule – de mener ses activités est d’obtenir la confiance de nos partenaires, et cela ne peut pas être réalisé par des pratiques inadéquates comme l’obsolescence programmée. Notre activité a été bâtie sur la création de produits véritablement excellents que nos clients utilisent et apprécient depuis de nombreuses années. »

Epson fournit à un large éventail de clients une impression stable et sans tracas. En réponse à la demande croissante pour l’impression sans cartouche, nous avons lancé en 2010 notre gamme d’imprimantes EcoTank qui offrent une impression sans cartouche incluant jusqu’à 3 ans d’encre.

Ernest Quingles ajoute : « Jusqu’à présent, nous avons vendu plus de 25 millions d’imprimantes EcoTank dans le monde entier aux personnes qui veulent une impression sans cartouche de haute qualité. »

Corinne
Corinne

Depuis plus de 25 ans dans le métier de la communication et du marketing, Corinne a démarré sa carrière à la télévision avant de rejoindre une agence événementielle. Curieuse dans l’âme, elle poursuit sa carrière dans l’IT et intègre une société de conseil en éditique puis entre chez un éditeur de logiciels leader sur son marché, SEFAS. Elle est ensuite nommée Directrice Communication chez MGI Digital Graphic, constructeur de matériel d’impression numérique et de finition international coté en bourse. Revenue en 2008 chez SEFAS au poste de Directrice Marketing et Communication groupe, elle gère une équipe répartie sur 3 géographies (France, Etats-Unis et Angleterre), crée le groupe utilisateurs de l’entreprise et lance un projet de certification ISO 9001, ISO 14001 et ISO 26000 couronné de succès. Pendant 7 ans membre du conseil d’administration de l’association professionnelle Xplor France et 2 ans sa Présidente, Corinne a créé dès 2010 TiKibuzz, son agence de marketing et de communication. Elle devient Directrice de la Communication en charge des Relations Presse, du Lobbying et du marketing digital chez DOCAPOST, groupe La Poste, durant 3 ans avant de rejoindre la start-up FINTECH Limonetik, en 2013. C'est cette même année qu'elle crée votre média professionnel, DOCaufutur, l'avenir du document.

Written by Corinne

Depuis plus de 25 ans dans le métier de la communication et du marketing, Corinne a démarré sa carrière à la télévision avant de rejoindre une agence événementielle. Curieuse dans l’âme, elle poursuit sa carrière dans l’IT et intègre une société de conseil en éditique puis entre chez un éditeur de logiciels leader sur son marché, SEFAS. Elle est ensuite nommée Directrice Communication chez MGI Digital Graphic, constructeur de matériel d’impression numérique et de finition international coté en bourse. Revenue en 2008 chez SEFAS au poste de Directrice Marketing et Communication groupe, elle gère une équipe répartie sur 3 géographies (France, Etats-Unis et Angleterre), crée le groupe utilisateurs de l’entreprise et lance un projet de certification ISO 9001, ISO 14001 et ISO 26000 couronné de succès.
Pendant 7 ans membre du conseil d’administration de l’association professionnelle Xplor France et 2 ans sa Présidente, Corinne a créé dès 2010 TiKibuzz, son agence de marketing et de communication.
Elle devient Directrice de la Communication en charge des Relations Presse, du Lobbying et du marketing digital chez DOCAPOST, groupe La Poste, durant 3 ans avant de rejoindre la start-up FINTECH Limonetik, en 2013. C'est cette même année qu'elle crée votre média professionnel, DOCaufutur, l'avenir du document.