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Super Bowl 2015 : quels annonceurs ont le mieux tiré leur épingle du jeu ?

Dynatrace livre le Top 5 et le Flop 5 des annonceurs, basé sur une analyse en temps réel de la performance de leur site web et mobile

Dynatrace, leader de la gestion de la performance applicative (APM) centrée sur l’utilisateur, révèle les résultats d’une analyse en temps réel des performances des annonceurs pendant le 49e Super Bowl. Certains d’entre eux sont parvenus, grâce à de remarquables performances web et mobile, à favoriser l’engagement de leurs utilisateurs à travers leurs différents canaux digitaux et à amortir ainsi des investissements de plusieurs millions de dollars. D’autres en revanche, et malgré des dépenses publicitaires records pour l’événement le plus médiatisé de l’année, n’ont pas réussi à fournir à leurs utilisateurs une expérience online de qualité.

Une observation en temps réel des performances en ligne

Dynatrace s’est appuyée sur des tests préalables et un monitoring en temps réel des sites et pages d’atterrissage des annonceurs pendant le match, ainsi que sur les observations publiées en live sur son blog par une équipe d’experts de la performance. Le temps de réponse, le volume de données transférées, le nombre d’objets, de connexions et de tierces parties sollicitées, faisaient notamment partie des critères examinés.

Avant même le coup d’envoi, Dynatrace a permis de déceler des ralentissements sur un certain nombre de sites web –BMW, Skittles, M&M’s – dus par exemple à des contenus trop denses, des tierces parties défaillantes ou un design trop complexes.

« Les annonceurs qui achètent des espaces publicitaires pendant le Super Bowl mettent en jeu non seulement des millions de dollars mais également leur réputation, explique David Jones, Évangéliste technologique chez Dynatrace. En analysant leurs performances digitales, Dynatrace a permis d’identifier ceux qui, au-delà de leur investissement publicitaire, mettent en œuvre de bonnes pratiques pour garantir à leurs clients une expérience de qualité sur l’ensemble de leurs points de contact digitaux. Et comme nous nous y attendions, les grands gagnants de ce « Performance Bowl » sont ceux qui se sont correctement préparés en amont, via la réalisation de pré-tests, la simplification et la rationalisation de leur contenu, ainsi que la surveillance de l’impact des tierces parties. »

Les résultats

  1. Le Top 5 du « Performance Bowl » : Heinz, Cheerios, Beats Music, Subway et Carmax

Comme le montre le graphique ci-dessous, ces marques sont parvenues à fournir à leurs visiteurs des temps de réponse très courts, grâce notamment à leur capacité à rationaliser et simplifier leur approche digitale. Par exemple, pour le site Heinz, champion dans la catégorie « temps de réponse » avec un temps de chargement de 1,5 seconde, Dynatrace a enregistré 78 objets, 10 connexions, 2 serveurs et à peine 1,4 MB de données.

  •  Moyennes du groupe de tête : 60 objets, 18 connexions, des temps de réponse compris entre 1,5 et 2,4 secondes, 2,4 MB de données et 9 serveurs.
  1. Le Flop 5 du « Performance Bowl » : Chevrolet, Coca-Cola, Sonos, Pepsi et Jaguar

Sur le second graphique ci-dessous, on voit que ces marques ont quant à elles peiné à fournir des expériences digitales rapides et fiables, à cause, pour l’essentiel, de sites trop complexes et trop volumineux. Par exemple, le site de Jaguarcomptait à lui seul 152 objets, 98 connexions, 2,5 MB de données, 72 serveurs et un temps de réponse moyen de plus de 8,3 secondes.

  • Moyennes du groupe de queue : 174 objets, 92 connexions, des temps de réponse entre 6,8 et 8,34 secondes, 5,54 MB de données et 40 serveurs.
  1. L’impact des tierces parties sur les performances

De nombreuses entreprises font massivement appel à des contenus tiers – comme Twitter ou Facebook – pour favoriser l’engagement de leurs visiteurs. Toutefois, lors de pics de trafic, plus le nombre de tierces parties sollicitées est important, plus le risque d’avoir des incidents de performance est grand. Le graphique suivant montre ainsi le nombre croissant d’erreurs liées à Twitter ou Facebook sur les sites web monitorés pendant le match.

  1. L’impact d’un contenu trop dense

A vouloir fournir trop de contenus, certains sites finissent par se pénaliser eux-mêmes. Pour pallier les risques liés à son énorme volume de contenus (18,9 MB de données, contre 2,4MB en moyenne pour le Top 5), Pepsi a par exemple choisi d’en optimiser le chargement d’une partie seulement –  ce qui n’a toutefois pas eu d’effets notoires sur les performances globales du site. La marque Beats Music, bien qu’ayant un volume de contenu supérieur à la moyenne (6,5 MB) a quant à elle allégé le design de son site et limité la sollicitation de tierces parties, ce qui lui a permis d’enregistrer de bonnes performances.

Ce qu’il faut retenir

 

Pour toutes les entreprises, et en particulier celles qui consentent à des investissements financiers d’une telle ampleur, il est essentiel de veiller à la satisfaction de leurs clients sur l’ensemble de leurs canaux digitaux. Parvenir à séduire un client grâce à une publicité est un premier pas ; mais si ce même client est ensuite confronté à des ralentissements ou des bugs sur le site web ou l’application mobile de la marque, son enthousiasme risque de rapidement retomber. Comme le montre les recherches menées par Dynatrace, un client est en effet susceptible de quitter un site web ou mobile dès lors que ce dernier propose un temps de chargement supérieur à 3 secondes.

 

Les annonceurs soucieux d’optimiser l’expérience digitale de leurs clients, en particulier lors d’événements majeurs, peuvent sans attendre profiter du Test de Performance gratuit de Dynatrace.

 

 

Corinne
Corinne

Depuis plus de 25 ans dans le métier de la communication et du marketing, Corinne a démarré sa carrière à la télévision avant de rejoindre une agence événementielle. Curieuse dans l’âme, elle poursuit sa carrière dans l’IT et intègre une société de conseil en éditique puis entre chez un éditeur de logiciels leader sur son marché, SEFAS. Elle est ensuite nommée Directrice Communication chez MGI Digital Graphic, constructeur de matériel d’impression numérique et de finition international coté en bourse. Revenue en 2008 chez SEFAS au poste de Directrice Marketing et Communication groupe, elle gère une équipe répartie sur 3 géographies (France, Etats-Unis et Angleterre), crée le groupe utilisateurs de l’entreprise et lance un projet de certification ISO 9001, ISO 14001 et ISO 26000 couronné de succès. Pendant 7 ans membre du conseil d’administration de l’association professionnelle Xplor France et 2 ans sa Présidente, Corinne a créé dès 2010 TiKibuzz, son agence de marketing et de communication. Elle devient Directrice de la Communication en charge des Relations Presse, du Lobbying et du marketing digital chez DOCAPOST, groupe La Poste, durant 3 ans avant de rejoindre la start-up FINTECH Limonetik, en 2013. C'est cette même année qu'elle crée votre média professionnel, DOCaufutur, l'avenir du document.

Written by Corinne

Depuis plus de 25 ans dans le métier de la communication et du marketing, Corinne a démarré sa carrière à la télévision avant de rejoindre une agence événementielle. Curieuse dans l’âme, elle poursuit sa carrière dans l’IT et intègre une société de conseil en éditique puis entre chez un éditeur de logiciels leader sur son marché, SEFAS. Elle est ensuite nommée Directrice Communication chez MGI Digital Graphic, constructeur de matériel d’impression numérique et de finition international coté en bourse. Revenue en 2008 chez SEFAS au poste de Directrice Marketing et Communication groupe, elle gère une équipe répartie sur 3 géographies (France, Etats-Unis et Angleterre), crée le groupe utilisateurs de l’entreprise et lance un projet de certification ISO 9001, ISO 14001 et ISO 26000 couronné de succès.
Pendant 7 ans membre du conseil d’administration de l’association professionnelle Xplor France et 2 ans sa Présidente, Corinne a créé dès 2010 TiKibuzz, son agence de marketing et de communication.
Elle devient Directrice de la Communication en charge des Relations Presse, du Lobbying et du marketing digital chez DOCAPOST, groupe La Poste, durant 3 ans avant de rejoindre la start-up FINTECH Limonetik, en 2013. C'est cette même année qu'elle crée votre média professionnel, DOCaufutur, l'avenir du document.