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Des solutions fondées sur la technologie des cartes à puce pour l’enseignement supérieur

Création d’une « carte unique » pour le monde universitaire – Par Steven Commander, End-User Business Manager, HID Global

Les établissements d’enseignement supérieur et les universités doivent veiller à la sécurité de leur campus de la manière la plus rentable possible. De même, chaque établissement apporte son lot de défis et d’exigences qui lui est propre, ce qui suppose la souplesse des architectures de systèmes afin de satisfaire aux exigences actuelles tout en posant les jalons permettant de répondre aux besoins de sécurité à venir. Les solutions et prestations qu’HID Global met au service des établissements d’enseignement sont élaborées de A à Z pour relever ces défis et rassurer les responsables de la sécurité quant à leur capacité à protéger les étudiants, les administratifs et les enseignants, et ce, pendant de nombreuses années.

Jeter les bases : la technologie de la carte à puce et du lecteur

Aujourd’hui, la majorité des établissements utilise encore des cartes à piste magnétique qui offrent peu de sécurité. Ainsi, de nombreuses universités assistent à l’augmentation rapide des fausses cartes d’étudiant. Pour résoudre ce problème, la meilleure solution consiste à migrer complètement vers des cartes à puce à haute fréquence sans contact. L’amélioration de la sécurité associée à l’avantage de pouvoir utiliser une carte unique permet de réaliser de multiples opérations, notamment le paiement sécurisé et autres méthodes de paiement. L’utilisation sûre et sans danger de ces cartes à puce intelligentes est possible sur tout le campus pour un accès sans clé dans les résidences universitaires comme dans les installations de recherche. Elles peuvent également servir aux vérifications d’identité par département ou à l’achat de repas. Globalement, les dépenses engagées pour migrer vers les cartes sans contact sont compensées par les économies à long terme réalisées grâce à davantage d’efficacité en matière de gestion. En outre, la migration des anciens aux nouveaux systèmes par le biais de cartes et lecteurs multitechnologies ne perturbe pas les processus quotidiens. Ainsi, les universités peuvent conserver les cartes d’étudiant existantes et émettre un système de numérotation par code.

L’émission sécurisée : l’autre moitié de l’équation

Une solution d’impression/d’encodage sûre et efficace est essentielle pour émettre des cartes d’étudiant, même, et surtout, au début de chaque semestre, périodes les plus chargées de l’année. Le pire des scénarios pour les étudiants est de faire la queue des heures durant à des fins d’inscription pour s’entendre dire de revenir le lendemain pour récupérer leur badge. Dans le même esprit, les cartes ne doivent pas être délivrées chaque année. Elles doivent l’être pour toute la durée des études dans un établissement donné.

Par chance, les imprimantes, les supports de carte et les logiciels actuels offrent le plus haut degré de sécurité en combinant des technologies visuelles et logiques de premier plan pour une authentification plus fiable afin d’empêcher les falsifications. Les derniers logiciels en date facilitent aussi la synchronisation par les administrateurs des informations de codage avec les bases de données des étudiants, éliminant les risques d’erreur tout en simplifiant les changements à venir qui pourraient s’avérer nécessaires.

Les imprimantes FARGO® HDP® d’HID Global illustrent les avantages de la technologie d’impression haute définition (High Definition Printing™, HDP). À l’inverse des imprimantes utilisant la méthode d’impression Direct-to-Card (DTC®), les imprimantes HDP impriment une image haute résolution sur un film de transfert que l’on fait ensuite adhérer à la carte. Ce processus est garant d’une qualité d’image exceptionnelle et élimine les dommages causés à la tête d’impression en raison du contact direct avec la puce avec contact de la carte. Les équipes universitaires chargées des services liées aux cartes redoutent parfois l’impression des cartes à puce intelligentes. Or, cette méthode d’impression n’est guère différente de celle des cartes à piste magnétique, offrant des processus de déroulement des opérations similaires. Les solutions d’édition sécurisée devraient être intuitives et ne demander que peu, voire pas du tout, de formation. Les imprimantes doivent aussi pouvoir être mises à niveau sur site afin de s’adapter aux nouvelles exigences au gré des  changements et de l’évolution des besoins en matière de systèmes de cartes d’étudiant. Enfin, l’application logicielle doit se prêter à de multiples usages et inclure des modèles de cartes faciles à utiliser pour rationaliser le processus de création des cartes, notamment la synchronisation de l’ensemble des données utilisées dans la carte.

Peser le pour et le contre représente également une étape importante du processus. Passer d’une imprimante bas de gamme à une imprimante haut de gamme peut-être plus coûteux au départ, mais cette démarche se révélera plus rentable au fil du temps. A titre exemple, les solutions d’impression en grand volume comme l’imprimante à cartes HDP8500 d’HID Global conçue pour un usage industriel peuvent réaliser des opérations en parallèle, en accélérant l’impression par l’encodage d’une carte d’étudiant tout en procédant à l’impression d’une autre. L´imprimante HDP8500 gère aussi bien l’impression centralisée que décentralisée, ce qui signifie que les universités peuvent regrouper deux unités ou plus dans le bureau chargé des services aux cartes pour imprimer de grands volumes et effectuer des passages de cartes centralisés. Elles peuvent aussi installer des unités individuelles dans les résidences universitaires où les utilisateurs autorisés pourront imprimer et émettre des cartes pour les étudiants. Cette solution réduit la longueur des files d’attente tout en apportant davantage de confort aux étudiants.

En outre, les étudiants, le corps enseignant et le personnel administratif ne sont pas les seuls protagonistes sur le campus. Une plateforme de contrôle d’accès physique doit aussi tenir compte des visiteurs. L’enregistrement approprié des visiteurs constitue l’un des enjeux de sécurité importants auxquels doit faire face une université. À cet égard, la protection des résidences universitaires constitue un sujet de préoccupation primordial. Lors de la mise en place d’un système de gestion des visiteurs, il est nécessaire de veiller à sélectionner la bonne imprimante, celle qui présente les caractéristiques appropriées et les degrés adéquats de fiabilité et de durabilité. Selon l’environnement du campus, il peut aussi être intéressant d’opter pour des lecteurs anti-vandalisme.

La gestion des visiteurs est de plus en plus intégrée aux systèmes de contrôle d’accès des universités, comme nous pouvons le constater. Cela permet de déployer une solution totalement sécurisée. Le campus de l’Université de l’Arizona est doté d’un tel système collègue/visiteur. Les informations relatives aux invités entrées dans la base de données de gestion des visiteurs passent tout naturellement dans le système de gestion d’identité du bureau des cartes. Le visiteur est alors éligible à la délivrance d’une carte. Cette même carte de campus est émise grâce à la technologie « Tap and go », autrement dit sans contact, pour donner accès à la porte d’entrée. Lorsque le visiteur cesse d’être actif dans le système, la carte est désactivée pour l’accès sans clé et les autres services sur le campus.

Un autre bon investissement consiste à acquérir des imprimantes équipées de programmeurs/encodeurs associant ce qui était auparavant des processus multiples en une étape unique de personnalisation de cartes en ligne. Grâce à cette approche, il suffit d’une seule étape, automatisée, pour synchroniser les données préprogrammées des composants électroniques de la carte avec les données personnelles imprimées sur sa face extérieure. L’utilisateur introduit une carte dans une imprimante de bureau dotée d’un encodeur pour carte à puce intelligente et celle-ci est personnalisée tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Cela accélère le processus de délivrance de la carte tout en éliminant le risque d’erreur humaine lors de la saisie manuelle, ce qui conduit parfois à jeter de nombreuses cartes. Les imprimantes pouvant être mises à niveau sur site permettent aux universités qui possèdent déjà une imprimante à cartes d’y ajouter un encodeur afin de capitaliser sur les bénéfices des cartes à puce, et ce, pendant longtemps. Lorsque sera venu le temps de maximiser les fonctionnalités de leurs cartes à puce, elles auront déjà résolu une partie de l’équation relative à l’impression intelligente.

Assurer la protection des étudiants, du personnel et des biens est l’une des principales responsabilités de l’université. La technologie des cartes à puce intelligentes sans contact ne garantit pas seulement les niveaux de sécurité les plus élevés, mais aussi la plus grande efficacité et commodité. En investissant dans un système de contrôle d’accès à identité unique leur permettant d’imprimer elles-mêmes des cartes à usages multiples, les universités sont en mesure d’adapter la distribution de leurs cartes en fonction de leurs propres besoins tout en assurant une protection adéquate contre les menaces externes.

Corinne
Corinne

Depuis plus de 25 ans dans le métier de la communication et du marketing, Corinne a démarré sa carrière à la télévision avant de rejoindre une agence événementielle. Curieuse dans l’âme, elle poursuit sa carrière dans l’IT et intègre une société de conseil en éditique puis entre chez un éditeur de logiciels leader sur son marché, SEFAS. Elle est ensuite nommée Directrice Communication chez MGI Digital Graphic, constructeur de matériel d’impression numérique et de finition international coté en bourse. Revenue en 2008 chez SEFAS au poste de Directrice Marketing et Communication groupe, elle gère une équipe répartie sur 3 géographies (France, Etats-Unis et Angleterre), crée le groupe utilisateurs de l’entreprise et lance un projet de certification ISO 9001, ISO 14001 et ISO 26000 couronné de succès. Pendant 7 ans membre du conseil d’administration de l’association professionnelle Xplor France et 2 ans sa Présidente, Corinne a créé dès 2010 TiKibuzz, son agence de marketing et de communication. Elle devient Directrice de la Communication en charge des Relations Presse, du Lobbying et du marketing digital chez DOCAPOST, groupe La Poste, durant 3 ans avant de rejoindre la start-up FINTECH Limonetik, en 2013. C'est cette même année qu'elle crée votre média professionnel, DOCaufutur, l'avenir du document.

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Depuis plus de 25 ans dans le métier de la communication et du marketing, Corinne a démarré sa carrière à la télévision avant de rejoindre une agence événementielle. Curieuse dans l’âme, elle poursuit sa carrière dans l’IT et intègre une société de conseil en éditique puis entre chez un éditeur de logiciels leader sur son marché, SEFAS. Elle est ensuite nommée Directrice Communication chez MGI Digital Graphic, constructeur de matériel d’impression numérique et de finition international coté en bourse. Revenue en 2008 chez SEFAS au poste de Directrice Marketing et Communication groupe, elle gère une équipe répartie sur 3 géographies (France, Etats-Unis et Angleterre), crée le groupe utilisateurs de l’entreprise et lance un projet de certification ISO 9001, ISO 14001 et ISO 26000 couronné de succès.
Pendant 7 ans membre du conseil d’administration de l’association professionnelle Xplor France et 2 ans sa Présidente, Corinne a créé dès 2010 TiKibuzz, son agence de marketing et de communication.
Elle devient Directrice de la Communication en charge des Relations Presse, du Lobbying et du marketing digital chez DOCAPOST, groupe La Poste, durant 3 ans avant de rejoindre la start-up FINTECH Limonetik, en 2013. C'est cette même année qu'elle crée votre média professionnel, DOCaufutur, l'avenir du document.