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Le paradoxe de la génération Y | Epicor Software Corporation

Alors qu’elles peinent à établir leur prédominance technologique, les entreprises ignorent la génération Y, pourtant technophile!

D’après une étude internationale, les entreprises souhaitent être à la pointe des dernières technologies mais ignorent pourtant la génération la plus technophile du marché du travail.

Pour attirer, motiver et accompagner la génération de collaborateurs de demain et doper leur croissance, les entreprises doivent changer leurs stratégies dès maintenant.

Alors que la génération Y1] devrait constituer 75 % des effectifs mondiaux à l’horizon 20252], les problématiques liées à son  recrutement ne préoccupent que peu les dirigeants d’entreprise. C’est l’un des résultats majeurs d’une nouvelle étude[3] commanditée par Epicor Software Corporation, fournisseur mondial de solutions logicielles pour les entreprises. Cette dernière souligne l’importance d’intégrer la nouvelle génération et ses besoins dans les questions de ressources humaines et pour accompagner le développement de l’activité.

Seulement 39 % des entreprises déclarent donner une importance « majeure » ou « assez grande » à l’embauche de la génération Y. Cette proportion est révélatrice d’une profonde incohérence puisque ces mêmes entreprises classent la « prédominance technologique » et « l’expertise de la force de travail » parmi les principaux stimulants de la croissance. Or, avec son expérience du monde connecté et ses pratiques technologiques avancées, la génération Y est aujourd’hui bien placée pour apporter sa contribution.

Les technologies occupent une place toujours plus importante dans la croissance du secteur manufacturier. Aux États-Unis, on estime à presque 3,5 millions le nombre de postes à pourvoir dans ce secteur dans les dix prochaines années. Face au rétrécissement de la population en âge de travailler et au départ à la retraite des « baby boomers », les compétences de la génération Y vont donc jouer un rôle essentiel dans la croissance des entreprises au cours de la prochaine décennie.

Cette indifférence relative face au recrutement de la génération Y est d’autant plus surprenante à deux titres. D’abord parce que la part de celle-ci dans la force de travail est celle qui progresse le plus rapidement aux États-Unis. D’autre part, parce que cette génération est à la fois compétente technologiquement et instruite numériquement. « En pleine révolution numérique, les entreprises qui jouent la carte de la génération Y peuvent bénéficier d’un réel avantage concurrentiel », commente Celia Fleischaker, Vice-présidente senior et Directrice du marketing chez Epicor Software. « Notre étude mets en lumière de nombreux défis que la technologie peut aider à relever. Les entreprises doivent repenser leur mode de relation avec des collaborateurs numériquement instruits et se doter des outils nécessaires tels que le cloud, la mobilité, les outils d’analyse et autres technologies de progrès pour attirer, connecter et faire évoluer cette force de travail de nouvelle génération. »

La technologie ou le trait d’union entre collaborateurs, informations et opérations

Heureusement, de nombreuses entreprises travaillent déjà au développement de l’infrastructure technologique nécessaire pour attirer et accompagner les effectifs de demain. Près de 80 % des dirigeants d’entreprise interrogés ont engagé ou vont engager des investissements dans une infrastructure informatique intégrée.

Située à l’intersection entre les collaborateurs et les systèmes, la technologie permet de relier les informations et les opérations, contribuant ainsi de façon essentielle à réduire la complexité, améliorer la qualité de vie au travail et optimiser la productivité. Les répondants ont indiqué à 68 % qu’il est important de libérer les collaborateurs de valeur des tâches subalternes et à 67 % qu’un de leurs principaux objectifs consiste à automatiser les processus clés tout en donnant individuellement aux collaborateurs la capacité de se consacrer à des tâches plus stimulantes.

De plus, les entreprises ont besoin de la technologie pour préparer la nouvelle évolution du travail vers la robotique et l’intelligence artificielle. « Il est aujourd’hui question de stratégies de ressources humaines concernant la génération Y, mais demain nous aborderons des sujets essentiels pour la prochaine évolution du monde du travail : la rencontre de la génération Y et des machines », poursuit Celia Fleischaker.

Équiper les effectifs « digitalement »

Un quart des dirigeants interrogés ont déclaré devoir batailler pour garder leurs meilleurs collaborateurs. Ils sont même 59 % à indiquer que la fidélisation de leurs effectifs est un sujet de préoccupation.

À défaut de technologies appropriées, les entreprises courent le risque de surcharger leurs collaborateurs et, à terme, de les voir subir un « burn out » ou donner leur démission. D’ailleurs, 43 % des répondants s’inquiètent que la croissance porte la charge de travail à un tel niveau que la pression finisse par pousser leurs collaborateurs clés à privilégier un poste plus stratégique et axé sur les connaissances chez un concurrent d’envergure (40 %) ou dans une entreprise plus ouverte aux technologies (29 %). De fait, pour les trois quarts (77 %) des répondants, garantir l’accès à l’ensemble des informations nécessaires pour accomplir les missions demandées est considéré comme un important facteur de fidélisation des collaborateurs précieux.

Grâce à des systèmes et des interfaces utilisateur intuitifs, le personnel devient rapidement opérationnel, ce qui s’avère particulièrement bénéfique dans le cas de la génération Y, désireuse d’avoir un impact immédiat sur son environnement de travail. Les fonctionnalités d’assistance à l’écran et d’apprentissage intégré garantissent la simplicité d’utilisation et de formation sur les systèmes. De plus, les entreprises peuvent offrir l’accès aux informations à tout moment et en tout lieu, grâce aux fonctions de mobilité et de réseaux sociaux, mais mettre à profit les données grâce aux analyses et aux tableaux de bord.

Cultiver un vivier virtuel de talents, dans le monde entier

Près d’un répondant sur cinq (19 %) manque de ressources suffisamment compétentes ou expérimentées et près d’un sur quatre (23 %) rencontre des difficultés à recruter du personnel compétent.

Aux États-Unis, les travailleurs indépendants ou freelances devraient représenter pas moins de 50 % de la force de travail d’ici 2020[4]. Comme les contrats à temps complet et à durée indéterminée ne seront plus la norme, les entreprises vont devoir procéder à des aménagements stratégiques. De façon évidente, on assiste à un virage, l’accent n’étant plus mis sur la fidélisation des salariés, mais sur l’implication des collaborateurs avec, en prime, un déplacement vers un savoir institutionnalisé garantissant des viviers de talents virtuels à travers le monde qui échangent et collaborent. En effet, la collaboration via les réseaux sociaux simplifie la contribution des collaborateurs et le transfert de connaissances institutionnelles, permettant d’accueillir efficacement le personnel et de favoriser la productivité globale.

Saisir les bienfaits de l’innovation

« Paradoxalement, une force de travail en constante mutation représente un avantage pour les entreprises. Celles-ci tirent en effet parti d’un vivier inépuisable de talents leur permettant de capitaliser sur un influx d’idées et de perspectives nouvelles, ainsi que sur des pensées révolutionnaires prêtes à l’emploi. Or, de tels avantages sont essentiels pour occuper une position de leader sur le marché », poursuit Celia Fleischaker. « Pour 30 % des dirigeants d’entreprise interrogés, l’ambition et l’esprit d’entreprise sont des facteurs essentiels de stimulation de la croissance. Les recherches sectorielles révèlent une forte corrélation entre la collaboration et l’innovation. S’appuyer sur le cloud et les réseaux sociaux d’entreprise permet de soutenir la collaboration à tout moment et en tout lieu. C’est capital pour les activités qui ne connaissent pas de frontières et cela permet aux entreprises de saisir les bienfaits de l’innovation. »

L’ERP, système d’entreprise qui mobilise les collaborateurs

Système stratégique pour l’entreprise dont il accompagne l’activité en favorisant la mobilisation des employés, l’ERP, ou progiciel intégré, peut jouer un rôle essentiel dans la prise en charge de la force de travail de nouvelle génération. Epicor offre une plate-forme ERP de pointe, qui rationalise et automatise les processus dans le respect des meilleures pratiques, et intègre les données favorisant une prise de décision rapide et une collaboration optimisée à tous les niveaux de l’entreprise. En intégrant les nouvelles technologies, telles que la mobilité, les réseaux sociaux et les fonctionnalités d’analyse, Epicor ERP jette une passerelle entre le conseil d’administration et l’atelier de fabrication, et entre l’entreprise et ses clients. Il donne en outre à une nouvelle génération de collaborateurs les outils dont ils ont besoin, grâce à sa simplicité d’utilisation, sa technologie visionnaire et son expertise des différents secteurs.

Corinne
Corinne

Depuis plus de 25 ans dans le métier de la communication et du marketing, Corinne a démarré sa carrière à la télévision avant de rejoindre une agence événementielle. Curieuse dans l’âme, elle poursuit sa carrière dans l’IT et intègre une société de conseil en éditique puis entre chez un éditeur de logiciels leader sur son marché, SEFAS. Elle est ensuite nommée Directrice Communication chez MGI Digital Graphic, constructeur de matériel d’impression numérique et de finition international coté en bourse. Revenue en 2008 chez SEFAS au poste de Directrice Marketing et Communication groupe, elle gère une équipe répartie sur 3 géographies (France, Etats-Unis et Angleterre), crée le groupe utilisateurs de l’entreprise et lance un projet de certification ISO 9001, ISO 14001 et ISO 26000 couronné de succès. Pendant 7 ans membre du conseil d’administration de l’association professionnelle Xplor France et 2 ans sa Présidente, Corinne a créé dès 2010 TiKibuzz, son agence de marketing et de communication. Elle devient Directrice de la Communication en charge des Relations Presse, du Lobbying et du marketing digital chez DOCAPOST, groupe La Poste, durant 3 ans avant de rejoindre la start-up FINTECH Limonetik, en 2013. C'est cette même année qu'elle crée votre média professionnel, DOCaufutur, l'avenir du document.

Written by Corinne

Depuis plus de 25 ans dans le métier de la communication et du marketing, Corinne a démarré sa carrière à la télévision avant de rejoindre une agence événementielle. Curieuse dans l’âme, elle poursuit sa carrière dans l’IT et intègre une société de conseil en éditique puis entre chez un éditeur de logiciels leader sur son marché, SEFAS. Elle est ensuite nommée Directrice Communication chez MGI Digital Graphic, constructeur de matériel d’impression numérique et de finition international coté en bourse. Revenue en 2008 chez SEFAS au poste de Directrice Marketing et Communication groupe, elle gère une équipe répartie sur 3 géographies (France, Etats-Unis et Angleterre), crée le groupe utilisateurs de l’entreprise et lance un projet de certification ISO 9001, ISO 14001 et ISO 26000 couronné de succès.
Pendant 7 ans membre du conseil d’administration de l’association professionnelle Xplor France et 2 ans sa Présidente, Corinne a créé dès 2010 TiKibuzz, son agence de marketing et de communication.
Elle devient Directrice de la Communication en charge des Relations Presse, du Lobbying et du marketing digital chez DOCAPOST, groupe La Poste, durant 3 ans avant de rejoindre la start-up FINTECH Limonetik, en 2013. C'est cette même année qu'elle crée votre média professionnel, DOCaufutur, l'avenir du document.