in

Étude StorageCraft : l’essor du cloud soulève la question de la responsabilité en matière de sécurité des données

  • Une adoption rapide et une dépendance accrue envers les services cloud pour la récupération des données
  • De fausses idées sur la responsabilité en matière de sécurité des fichiers
  • Des inquiétudes concernant la conformité et le niveau de sécurité de ceux-ci

StorageCraft, une entreprise Arcserve, dont la mission consiste à protéger toutes les données et à assurer leur disponibilité permanente, annonce aujourd’hui les premiers résultats de son étude indépendante annuelle et mondiale sur les comportements et les expériences des décideurs informatiques en matière de protection et de récupération des données. Celle-ci révèle notamment une croissance généralisée de l’adoption du cloud dans le contexte de COVID-19. Elle indique également une mauvaise compréhension de la responsabilité en matière de sauvegarde et de récupération des données stockées dans le cloud et un manque de confiance quant à la sécurité de celles-ci, détenues par les fournisseurs de services de cloud public.

Lorsqu’on demande aux sondés français si la COVID-19 a impacté leur stratégie d’adoption du cloud :

  • 52% déclarent avoir en effet noté une accélération de celle-ci pour la gestion des données.
  • 55% confirment une utilisation accrue des services de sauvegarde cloud.
  • 49% affirment s’appuyer de plus en plus sur ceux-ci pour la récupération de données.
  • 61% ont même augmenté l’utilisation du cloud au service de l’infrastructure IT (IaaS).

Malgré l’adoption accélérée des services cloud, l’étude montre également un manque de clarté et de confiance concernant la protection et la récupération des données stockées sur les plateformes publiques.

  • 43% des répondants français pensent que les données sauvegardées sur un cloud public (AWS, Azure, Office365, etc.) ne sont pas aussi sécurisées que celles sur site. Cette crainte est tout particulièrement répandue dans les entreprises disposant de plus de 1PB de données, où 69% pensent que leur sauvegarde sur un cloud public n’est pas aussi fiable que sur site.
  • 53% pensent que la protection et la récupération des données stockées dans les clouds publics relèvent de la responsabilité du fournisseur de services et non du propriétaire des informations.

Cette idée fausse et répandue (53 %) est particulièrement préoccupante. Les entreprises se tournant vers des services cloud doivent en effet comprendre que les données stockées à cet effet sont sous la responsabilité partagée de leur propriétaire et du fournisseur de cloud.

Interrogés sur les principaux obstacles à l’adoption des services de données cloud, 47 % ont répondu la réglementation et la conformité, 46 % le manque de contrôle sur les données et 47 % les problèmes de sécurité.

Selon Shridar Subramanian, CMO chez Arcserve : « Les entreprises se tournent de plus en plus vers le cloud dans le cadre d’une stratégie hybride de datacenters qui les aide à gérer le coût et la complexité de leurs environnements, plus difficiles à administrer depuis l’avènement du télétravail. » Il poursuit : « Il est encourageant de constater que de nombreuses entreprises prévoient d’augmenter leurs investissements en matière de sécurité des données et de sauvegarde avec leurs MSP. L’expertise apportée par ces derniers permettra de garantir la mise en place de plans de protection et de récupération des données clairement définis et testés. »

Trente-huit pour cent des répondants ont aussi déclaré prévoir d’augmenter leurs dépenses avec les MSP pour la sauvegarde des données sur site dans le cloud, 37 % pour celle des bureaux distants et 18 % pour le cloud DRaaS. »

Morgane
Morgane Palomo

Diplômée d'un master un brand management marketing, sa curiosité et sa soif de savoir ne sont étanchées. De nature créative, elle a su diversifier ses expériences. De la création graphique, à l'événementiel en passant par la communication interne et le marketing digital, elle s’est construit un savoir pluriel et avant tout polyvalent.

Written by Morgane Palomo

Diplômée d'un master un brand management marketing, sa curiosité et sa soif de savoir ne sont étanchées. De nature créative, elle a su diversifier ses expériences. De la création graphique, à l'événementiel en passant par la communication interne et le marketing digital, elle s’est construit un savoir pluriel et avant tout polyvalent.