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Le Syndicat de la Distribution Directe (SDD) réaffirme l’intérêt des Français pour l’imprimé publicitaire, son rôle économique, social et son engagement environnemental

6 points pour apprécier l’imprimé publicitaire

1 – L’imprimé publicitaire est le média du pouvoir d’achat

L’imprimé publicitaire permet de comparer les offres et d’accroître son pouvoir d’achat, il permet de consommer malin et en proximité. C’est la raison pour laquelle 75% des Français déclarent apprécier l’imprimé publicitaire (BALmétrie 2017) et 68,2% d’entre eux en lisent chaque semaine (BALmétrie 2018).

2 – L’imprimé publicitaire est au service de l’économie locale

L’imprimé publicitaire est accessible pour les petites et moyennes entreprises, il est facile à mettre en œuvre pour se faire connaître que ce soit par un magasin de centre-ville ou par un artisan qui souhaite faire connaître son savoir-faire de manière locale ou régionale. L’imprimé publicitaire est donc un levier important du développement de l’artisanat et des commerces locaux.

3 – L’imprimé publicitaire est au service du lien social

L’imprimé publicitaire est un vecteur de lien social car il permet de rester connecté à un territoire (communication des associations de quartier et des lieux culturels). Les mairies et collectivités territoriales en sont friandes pour faire connaître leurs actions et leurs événements.

4– L’imprimé publicitaire est un média choisi

Ultra-sollicités sur les supports électroniques, 79% des Français estiment qu’il est important de déconnecter pour profiter de la lecture d’un imprimé publicitaire (étude Two Sides 2017).

63% des Français déclarent d’ailleurs que la lecture d’un imprimé publicitaire est pour eux un moment de détente (étude Two Sides 2017). Le taux de stop pub est bien inférieur au taux d’ad-blockers (18% pour les stop pub contre 36% pour les ad-blocks).

5 – L’imprimé publicitaire représente une filière économique et créatrice d’emplois indispensables

L’imprimé publicitaire représente par ailleurs des milliers d’emplois partout en France, dans les fonctions industrielles, logistiques et commerciales en local.

La filière de la « distribution » emploie directement plus de 30 000 salariés sur le territoire national. Principalement occupé par des personnes à la recherche d’une activité complémentaire, le métier de distributeur permet aujourd’hui à une population peu qualifiée d’avoir accès à un CDI non délocalisable, dans le périmètre de son domicile. C’est pour beaucoup un tremplin pour un retour à l’emploi dans le cadre d’une sécurité de l’emploi et de garanties salariales fortes.

La filière « création, impression, routage, transport, distribution », quant à elle, représente 157 163 emplois selon Obs-commédia en 2016.

6 – L’imprimé publicitaire est un média responsable

L’imprimé est distribué sur des zones extrêmes bien ciblées

La filière travaille sur des zones ciblées et recensées, où l’ensemble des boîtes aux lettres en France Métropolitaine et en Corse sont cartographiées.

Ce recensement permet de calculer au plus juste le nombre de supports nécessaires pour les campagnes publicitaires. Ce recensement prend bien sûr en compte les stop pub. Les annonceurs peuvent ainsi produire la « juste bonne » quantité d’imprimés.

Le stop pub est strictement respecté

Par ailleurs, la filière distribution forme ses distributeurs au respect des stop pub sur les boîtes aux lettres. A ce dispositif de professionnalisation s’ajoute un encadrement opérationnel lors des distributions : les managers accompagnent régulièrement les distributeurs et veillent à ce qu’ils appliquent les consignes.

La filière distribution s’engage dans la réduction de son empreinte carbone

Que ce soit par le tri des déchets, la compensation carbone intégrale de son offre, des programmes de reforestation, l’optimisation des flux de transports, la filière a à cœur de calculer et de réduire son empreinte carbone chaque année. Elle accompagne par ailleurs ses clients sur la voie de l’éco-conception des imprimés publicitaires (pas de vernis, pas de coller, utilisations raisonnées de l’encre …)

L’imprimé publicitaire souffre d’idées reçues sur le papier dont il convient de se défaire

Comme toute activité humaine, la production de papier a un impact environnemental. Pour autant, c’est un support naturel, renouvelable (les forêts européennes augmentent de 1 500 terrains de football chaque jour) et recyclable (jusqu’à 5 fois).

En Europe, 72% du papier est recyclé, soit l’équivalent de 2 tonnes de papier chaque seconde. Avec près de 65 % de « vieux papiers » recyclés, l’industrie papetière est la 1ère industrie de recyclage en France.

Il est à noter que les annonceurs mettant sur le marché plus de 5 tonnes par an contribuent au recyclage du papier grâce à l’éco-contribution versée à CITEO, éco-organisme d’État. En effet, l’éco-contribution est essentiellement utilisée pour financer les collectivités territoriales qui assurent la collecte des « vieux papiers », leur tri et leur recyclage.

Morgane
Morgane Palomo

Diplômée d'un master un brand management marketing, sa curiosité et sa soif de savoir ne sont étanchées. De nature créative, elle a su diversifier ses expériences. De la création graphique, à l'événementiel en passant par la communication interne et le marketing digital, elle s’est construit un savoir pluriel et avant tout polyvalent.

Written by Morgane Palomo

Diplômée d'un master un brand management marketing, sa curiosité et sa soif de savoir ne sont étanchées. De nature créative, elle a su diversifier ses expériences. De la création graphique, à l'événementiel en passant par la communication interne et le marketing digital, elle s’est construit un savoir pluriel et avant tout polyvalent.