Les formes de communication des entreprises ont considérablement évolué en un temps relativement bref. Au point qu’aujourd’hui, et moins de vingt ans après le début de cette révolution numérique, on en vient à se poser assez logiquement la question de l’avenir du document, perçu comme un héritage du passé.
Pour les tenants de cette logique, les nouveaux canaux de communication numérique, les réseaux sociaux, les applications Cloud permettent déjà de contourner les rigidités et les coûts attribués au document. Mais c’est oublier qu’un document, dans le cadre de l’entreprise, est avant tout l’expression d’un processus métier auquel il se rattache ou dont il sera le déclencheur.
Peu importe que le document, en définitive, soit sous forme papier ou numérique, ce qui compte, c’est qu’il remplisse la fonction pour laquelle il a été conçue : informer un client, sceller le contrat avec un fournisseur, transmettre les instructions d’un service à un autre. Le document, en tant qu’ensemble structuré d’information, reste non seulement indispensable à la communication au sein de l’entreprise et avec son environnement, mais il est aussi un maillon essentiel du processus créateur de valeur…
Au sommaire:
- Quels sont les risques ?
- Bâtir un plan de reprise d’activité métier dédié à la communication
- Se mettre à la place des clients
- Organiser la versatilité documentaire
- Un enjeu stratégique d’indépendance
Accédez au livre blanc pour en savoir plus.
[sdfile url= »https://old.docaufutur.fr/wp-content/uploads/2015/04/White-Paper_La-maitrise-du-risque-de-communication_2014-v2.pdf »]