Client non-stop, économie connectée, la multiplication simultanée des sources d’information et des canaux de diffusion, renforcent incontestablement l’enjeu et l’urgence de l’urbanisation de la production documentaire. C’est l’analyse que propose Compart dans son nouveau livre blanc « Urbanisation de la production documentaire, un cran plus loin ».
Pour l’éditeur, les entreprises s’adaptent trop souvent au coup par coup à ces nouveaux modes de communication. Ce faisant, elles augmentent l’hétérogénéité de leurs processus de traitement documentaire, chaque source d’information ou chaque canal de diffusion imposant le sien. Dans de nombreuses organisations, explique encore Compart, une analyse approfondie révélerait que des documents en apparence sans rapport les uns avec les autres utilisent en réalité les mêmes processus de transformation et doivent répondre aux mêmes exigences en termes de traçabilité, d’archivage, de sécurisation, de diffusion multicanale, etc.
D’après l’éditeur de la suite DocBridge, ces processus ont tous en commun de faire appel à un petit nombre de scénarii identiques de traitement, au moins en partie, et cela indépendamment des formats d’entrée et de sortie.
Compart y voit une opportunité, celle d’appliquer à la production documentaire l’un des principes clés de l’urbanisation des systèmes d’information : la réduction de l’interdépendance entre les étapes fonctionnelles du traitement documentaire.
« Au lieu de faire appel à un outil de composition ou d’archivage spécifique, les différents processus métiers de production documentaire doivent pouvoir faire appel en toute indépendance à une même infrastructure de services interopérables », suggère encore l’éditeur dans son livre blanc. Selon lui, c’est la seule façon d’éviter l’effet boîte noire, notamment à l’étape cruciale de la conversion.