Etude Internationale Fuze : 6 600 collaborateurs dispersés aux quatre coins du monde soulignent l’intérêt du «Travail à la demande » : 89 % des personnes interrogées (86 % en France) déclarent que travailler de manière flexible devrait être la règle, et non pas l’exception
Fuze, plateforme cloud mondiale de communications unifiées, vient de publier une étude internationale qui démontre que les collaborateurs ne souhaitent plus travailler de manière traditionnelle, notamment avec des horaires fixes et dans les locaux de l’entreprise. Ils sont en train d’adopter un mode de «Travail à la demande » : ils choisissent le moment et l’endroit où ils vont travailler.
L’étude Fuze indique que 73% des sondés (69% en France) travaillent en dehors de leurs horaires de travail, là où ils sont le plus productifs. 56% précise que c’est un choix (54% en France) et qu’ils n’y sont pas contraints par leur hiérarchie.
En outre, neuf collaborateurs sur dix déclarent que travailler de manière flexible devrait être la règle et non l’exception. 30% des collaborateurs en France (la moitié à l’international) y accorde une telle importance qu’ils seraient prêt à quitter leur emploi pour avoir accès à plus de flexibilité.
« Les résultats de l’étude ont mis en lumière les tendances qui vont façonner l’avenir du monde du travail, à l’heure où les collaborateurs s’affranchissent des horaires fixes et décident quand passer en mode travail et quand en sortir, déclare Matthieu Courtois, Directeur Régional Europe du Sud de Fuze. « Les entreprises devraient leurs permettre non seulement de travailler lorsqu’ils sont les plus productifs, mais aussi de pouvoir équilibrer engagements personnels et activité professionnelle. Autoriser les collaborateurs à travailler quand et où ils le souhaitent, tout en leur fournissant les technologiques adéquates, renforce leur satisfaction et leur fidélité et garantit la performance des équipes ».
Le rapport Fuze met en évidence trois grandes tendances :
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Un rejet des horaires fixes et classiques
Neuf collaborateurs sur dix souhaitent des horaires de travail flexibles (plages horaires pour démarrer et terminer la journée – ex : de 7h à 10h et de 16h à 19h). Pouvoir organiser leur temps de travail sur la semaine ou sur l’année comme ils le souhaitent séduit 69 % des personnes interrogés (62 % en France). Plus de la moitié des collaborateurs (57 % au niveau global et également en France) déclarent aussi qu’ils préfèrent travailler sans horaires fixes. 36 % sont attirés par le statut d’indépendant ou les missions de courte durée (38 % en France).
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La priorité accordée à la famille et au bien-être
La quasi-totalité des sondés (95 % – 92 % en France) déclarent qu’un équilibre entre activité professionnelle et vie privée est un critère essentiel lorsqu’ils recherchent un nouvel emploi. 43 % (45 % en France) reconnaissent que la quête du « bien-être » est une des raisons qui motive leur envie de travailler de façon plus souple. Plus d’un tiers (37 % – 34 % en France) souhaiterait bénéficier de plus de flexibilité pour assumer ses responsabilités parentales ou familiales.
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Des dirigeants d’entreprises invités à favoriser la flexibilité au travail
Travailler de manière souple, au moment et à l’endroit de leur choix est important pour 87 % des collaborateurs (également 87 % en France). En outre, 84 % des salariés (75 % en France) estiment qu’ils pourraient être plus productif en dehors du bureau, à condition de disposer des bonnes technologies. D’après les résultats de l’étude 44 % (50 % en France) pensent que ce type d’environnement de travail n’est pas encouragé par les dirigeants, tandis que 38 % (51 % en France) déclarent ne pas disposer des bonnes technologies pour travailler efficacement en dehors du bureau.