Les chiffres à retenir de cette nouvelle édition :
- 62% déclarent avoir le moral
- En 6 mois, le moral des Marketeurs s’est amélioré pour 21% des répondants, et stabilisé pour près de 40% d’entre eux.
- 75% sont contents de leur vie au travail et de leur environnement.
- 70% environ sont enthousiastes quant aux produits et services dont ils assurent la promotion ainsi qu’aux marchés (53%) sur lesquels ils interviennent. Les valeurs de l’entreprise ainsi que sa stratégie sont plébiscitées à hauteur de 50%.
- 75% sont motivés par leurs collègues et 70% par leur manager, collaborateurs et prestataires.
- Le distingo Hommes/Femmes est cependant important au sein du panel. On note que le moral des femmes est plus sensible au style de management de leur chef.
François Gravet, consultant en stratégie marketing, retire de ce 2ème baromètre du moral marketing, que la vie au travail est un facteur clé qui conditionne la motivation du marketeur. « D’ailleurs, ce constat est très lié avec notre actualité et notre société morose. Les marketeurs recherchent des entreprises dynamiques qui sont transparentes et où il fait bon vivre », précisant « qu’il semble par contre que cet environnement ait produit des conditions de travail plus favorables à l’épanouissement des marketeurs au détriment de leurs collègues de la gente féminine. Peut-être celles-ci goûtent moins aux joies des soirées « pizzas baby-foot innovation » et hackathons divers et variés, se rappelant que la vie continue également en-dehors de l’entreprise … ».
Jean-Denis Garo, Director of Marketing Southern Europe & Africa, Mitel / Vice-président CMIT, résume « Le métier « marketing » fait sa révolution, il devient plus scientifique, plus programmatique qu’avant, plus riche, un atout pour la transformation des entreprises, un métier au cœur de la stratégie des marques. C’est pourquoi garder le moral est important. Rien de tel qu’une relation de confiance pour inciter vos salariés à s’engager et accroître votre compétitivité. Pour susciter l’engagement de leurs employés, les dirigeants ont plus que jamais tout intérêt à faire régner un climat de sérénité, d’éthique et de bien-être ».