Créé en septembre 2013, EI-Cloud propose une offre inédite de courtage de services Cloud orientée Conseil. Pour rendre le marché des services cloud plus lisibles, il a aussi dressé une cartographie des acteurs technologiques -Editeurs et Constructeurs- en France.
EI-Cloud, courtier français en services de cloud computing qui fait partie du groupe EI-Technologies, a fêté sa 1ère année d’existence sur le marché français. Le Cloud Broker, dirigé par Philippe Bourhis, a d’ores et déjà séduit une douzaine d’entreprises du CAC40 par son positionnement de partenaire conseil et opérationnel, à la fois sur les aspects technologiques et organisationnels liés à l’adoption du Cloud tout en veillant à maîtriser les coûts. A ce jour, EI-Cloud compte à son actif plus de 20 projets réalisés ou en cours et en discussion avec toutes les entreprises du CAC40 et plusieurs du SBF120 (1er et 2nd marchés).
« L’année 2014 a vu croître l’adoption du Cloud par les entreprises. Le mouvement est lancé, avec à la clé des applications comme le Big Data ou plus globalement le Numérique, qui n’auraient pas vu le jour sans ce type de technologies. Ce mouvement s’accompagne d’une autre tendance, apparue courant 2013 : le recours au Cloud Brokerage. Dans ce cas, soit l’entreprise crée en interne son propre cloud broker comme ont commencé à le faire certaines grandes entreprises, soit elle fait appel aux services d’un Cloud Broker externe », commente Philippe Bourhis, Président d’EI Cloud.
Toutefois, deux aspects restent à travailler. Les entreprises manquent de visibilité sur ce qu’il est pertinent de migrer vers le cloud. D’autre part, une proportion non négligeable des services cloud est directement souscrite par les directions métier (RH, Finance, Marketing…) sur un mode SaaS.
« L’enjeu du cloud chez beaucoup de nos clients est de coordonner et d’organiser cette souscription de services cloud au niveau de la Direction informatique. L’objectif est triple : assurer leur intégration avec le reste du système d’information ; bâtir des infrastructures agiles et évolutives ; et garantir la cohérence du système d’information et l’interopérabilité entre les différents environnements Cloud que l’entreprise a ou devra générer », poursuit Philippe Bourhis.
La réponse d’EI-Cloud : le cloud brokerage orienté Conseil
Lancé en septembre 2013, EI-Cloud a été le 1er acteur à proposer des prestations de cloud brokage au marché français. Sa mission est d’aider une entreprise à choisir ses fournisseurs et ses technologies de Cloud Computing tout en garantissant la performance des architectures proposées, la flexibilité et la cohérence du système d’information, la sécurité et la réversibilité des solutions et architectures choisies. EI-Cloud analyse et définit l’éligibilité ou non de migrer les composants du système d’information de l’entreprise ; il a développé par ailleurs des outils et méthodes éprouvés qu’il utilise ensuite pour sélectionner les solutions technologiques adéquates.
Agnostique dans ses préconisations, EI-Cloud travaille avec une centaine de partenaires – principalement des éditeurs et constructeurs de solutions de Cloud Computing à la pointe de l’innovation et leaders sur leur technologie. EI-Cloud est également épaulé par un cabinet d’avocats spécialisé dans l’informatique et l’Internet pour couvrir les aspects juridiques induits par les modèles Cloud, avec en premier lieu la sécurisation et localisation des données.
En support de ses missions, EI-Cloud a cartographié le marché français du Cloud. Le CloudScape by EI-Cloud, cartographie disponible sur le site web d’EI-Cloud, positionne une centaine d’acteurs sur les différents segments de l’industrie du numérique et de l’informatique. Elle a reçu un très bon accueil car fournissant des clés pour comprendre et s’y retrouver parmi les nombreuses offres annoncées.
« L’offre de services Cloud reste pour le moment instable, multiforme et peu lisible. Les acteurs, les solutions, les schémas économiques se multiplient et il peut vite être difficile de s’y retrouver. Les arbitrages et choix de technologies doivent avant tout se faire sur la base des besoins exprimés par les métiers tout en visant à accompagner la tendance de fond à la digitalisation des entreprises et organisations », explique Philippe Bourhis.