Réflexions à partager suite à la journée Interquest 2014.
Lorsque nous écrivons, en effet, et ce, quel que soit le support …. L’objectif est bien d’être lu ! La question du support n’est alors plus le point primordial, puisqu’il devient dépendant du contenu et de l’usage qui est celui de l’information diffusée. Tout est donc question de contenu et d’usage. Le support de l’écrit dépendrait donc de ce couple ? Pas seulement.
Devons-nous réserver le support papier aux seules informations « dignes » de conservation légale ? Ou devons-nous les transmettre sur support numérique en état « prêt à archiver » ? Devons-nous plutôt destiner le papier à de l’information sensible? Ou devons-nous le réserver pour une information personnalisée, avec des papiers agréables au toucher, des couleurs permettant la mise en valeur de l’information, bref le papier pour une communication sensuelle ?
Côté « tactile » le digital l’est aussi, alors… En sommes-nous réduits aux seuls coûts pour choisir ? Il est indéniable qu’une campagne « e-mailing » est moins coûteuse qu’une campagne via mailing papier. Par contre plusieurs études semblent démontrer que les taux de réponses sur une campagne papier sont nettement supérieurs à ceux d’une campagne via email. L’enrichissement est-il adossé aux économies ou à l’augmentation du chiffre d’affaires ?
D’autres études tendent à démontrer que plus de 80 % des plis courriers de gestion sont ouverts…. De là à imaginer l’intégration du marketing dans le pli de gestion il n’y a qu’un pas.
- Que certains ont franchi,
- Que d’autres rêvent de franchir
- Dont la frontière est infranchissable pour les derniers
J’aimerais conclure cette brève avec une question : devons-nous séduire pour être lus ?